ASSOCIATION POUR LA MEMOIRE
D'ALOYSIUS BERTRAND

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par Nathalie Ravonneaux

Page de titre Adresse à laquelle envoyer les épreuves Reprise du titre Citation de Sainte-Beuve Dessin d'un encadrement pour le texte Introduction Préface Dédicace à Victor Hugo Epigraphe du poème à Victor Hugo Poème à Victor Hugo Livre I

Édition génétique de Gaspard de la nuit

 

Ce document est réservé à un usage privé exclusivement.

 

 

Présentation

 

 

Nous proposons dans cette étude une transcription codée du manuscrit conservé à la Bibliothèque Nationale de France sous la cote N.a.fr. 25276.

Le texte a été établi d’après le microfilm n° 9141 du manuscrit collationné avec les éditions d’Helen Hart Poggenburg (Œuvres complètes, Paris, Champion, 2000) et de J. Bony (Gaspard de la nuit, GF-Flammarion, Paris, 2005). 

 

Le codage de la transcription obéit aux règles suivantes :

Les notes de Bertrand ont été conservées et signalées, comme sur le manuscrit, par un astérisque.  

Les ajouts marginaux ont été conservées et placés dans la marge gauche du texte, comme sur le manuscrit. Dans la plupart des cas, ils sont précédés d’un signe de renvoi (X) que nous avons également reproduit.

Les ajouts interlinéaires sont signalés par les crochets aigus doubles (<<  >>).

Nous avons distingué deux types de ratures : les textes biffés et les textes recouverts d’une rature bouclée. Nous reproduisons le texte barré dans le premier cas : textes biffés. Nous mettons le texte entre crochets droits dans le second : [textes recouverts d’une rature bouclée]. Les textes non déchiffrés raturés sont désignés par les initiales n.d. barrées : n.d.. Les textes non déchiffrés recouverts d’une rature bouclée sont désignés par les initiales n. d. mises entre crochets droits : [n.d.]. Si le début est déchiffrable et que seule la suite ne l’est pas non indiquons s. n. d. (pour « suite non déchiffrée ») : [avec s.n.d.]

Les textes surchargés sont indiqués entre crochets aigus (<surcharge>). Si le texte surchargé est lisible nous le mettons entre parenthèses avant le texte de surcharge <(texte surchargé) texte qui surcharge>, si nous ne sommes pas sûre de la lecture nous le faisons suivre d’un point d’interrogation <(texte surchargé (?)) texte qui surcharge>, s’il est illisible, nous l’indiquons par les initiales n. d.

La pagination a été mainte fois modifiée. Nous reproduisons les indications raturées et les paginations qui s’y sont substituées. Nous indiquons également la pagination effectuée par la BNF lors de l’acquisition du manuscrit mais en plaçant l’indication entre double crochets droits pour la distinguer nettement des paginations manuscrites.

Lorsqu’il y a une réclame (fait très rare), nous la reproduisons.

Des notes de bas de page précisent les changements d’encre signalés par J. Bony et invisibles sur le microfilm.

            Les autres signes (courbes, ellipses simples, doubles ou triples, etc.) marquent l’emplacement d’un enjolivement calligraphique.

 

            Nous avons adopté la police Times New Roman 12 (10 pour les notes de bas de page), sauf lorsque Bertrand précisait dans une accolade face à son texte « Gothiques grasses » (chaque début et chaque fin de livre a ainsi été transcrit en police Old English Text MT) ou « composer en petits caractères » (Ainsi le poème « Gothique donjon/en flèche gothique… » (page [[6]]) est transcrit en police 10).