Maître de conférences en sciences de l'information et de la communication
Pierre MAUBEBibliothécaire et écrivain
Pierre LEVISIngénieur
Jean-Pierre DUTHOITComédien
René DHAISNEProviseur, Maire Honoraire de la Couture
Elisabeth CHAMONTINJournaliste et poétesse
Laetitia GASCUELBibliothécaire
Denis CONSTALESProfesseur d'université
Jean-François LECOMPTEEcrivain
Dominique MILLETProfesseur à la Sorbonne
Jean BONNATDirecteur d'hôpital
Francis MIZIOEcrivain
Lucien CHOVET
Etudiant
Alexandre JAISSON James et Christiane CARPENTIER-PISKORSKIProfesseur de lettres retraitée
Jacques BONYProfesseur à Paris XII
Renaud DONNEDIEU de VABRESMinistre de la culture et de la communication
Lucienne FRAPPIER-MAZURProfesseur de littérature française; Université de Pennsylvanie
Laurence GOBLOTConservatrice en bibliothèque universitaire, Paris XII
Aymeric SILVERTmusicien et professeur de conservatoire
Françoise et Marcel HERGOTTpassionnés par l'oeuvre du poète
Yannick RICOULbiologiste
Florence LAFITTEprofesseur de flûte traversière
Céline POUILLAUDEprofesseur de flûte traversière
Fabrice AGATétudiant en lettres modernes
Nathalie RAVONNEAUXenseignante en lettres modernes
Anne-Caroline GOUSSARDprofesseur de Littérature français, Paris Sorbonne
Timothée Huckmembre de l'Institut Universitaire de France
Gwen Leblancétudiant
(extrait mail du 12/12/2006)
"Par le présent message, je demande, en particulier auprès du Service Central des Cimetières de Paris et du Service des Parcs et Jardins de la ville de Paris, que la sépulture d’Aloysius Bertrand soit signalée sur le panneau d'entrée du cimetière Montparnasse, où ce représentant de la littérature française est enterré."
(extrait mail du 20/12/2006)
"Il est tout simplement scandaleux que la sépulture d'un des plus grands poètes de la langue française, Aloysius Bertrand, ne soit pas signalée ni entretenue décemment.
Je ne peux que m'associer à la démarche de tous ceux qu'une telle situation révolte. Les autorités compétentes doivent immédiatement prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à cette indignité "
(extrait courrier du 27/12/2006)
"Je soutiens totalement cette initiative envers la mémoire d'un poète qui un des premiers, avant Baudelaire, avant Rimbaud, avant Mallarmé et beaucoup d'autres qui vont suivre, nous a donné des poèmes en prose majeurs et indispensables."
(extrait mail du 30/12/2006)
"je veux apporter ici mon soutien à cette association qui tente par tous les moyens de sauvegarder la sépulture d'Aloysius Bertrand, poète aujourd'hui hélas oublié, mais qui fait cependant partie intégrante du patrimoine Littéraire français et qui à ce titre, mérite, non seulement d'être signalée sur le panneau d'entrée du cimetière Montparnasse, mais également respectée et entretenue par les services de la ville de Paris."
(extrait courrier du 28/12/2006)
"Agréable surprise à la lecture dans La voix du Nord du 21 courant de votre message: "A la mémoire d'Aloysius Bertrand". Bravo pour votre initative."
(extrait mail du 02/01/2007)
"Un type
qui a 180 000 résultats quand on le Googuelise ne
peut voir sa tombe
abandonnée aussi bêtement, quoi. Le pouce est ce gras
cabaretier flamand, d'humeur goguenarde et
grivoise,
qui fume sur sa porte, à l'enseigne de la double
bière de mars. L'index est sa
femme, virago sèche comme une merluche, qui
dès le matin
soufflette sa servante dont elle est jalouse, et caresse la bouteille
dont
elle est amoureuse. Le doigt du milieu
est leur fils, compagnon dégrossi
à la hache, qui serait
soldat s'il n'était brasseur, et qui serait cheval s'il
n'était homme. Le doigt de l'anneau
est leur fille, leste et agaçante
Zerbine qui vend des
dentelles aux dames et ne vend pas ses sourires aux cavaliers. Et le doigt de
l'oreille est le Benjamin de la famille, marmot
pleureur, qui
toujours se trimballa à la ceinture de sa mère
comme un petit enfant pendu
au croc d'une ogresse. Les cinq doigts de
la main sont la plus mirobolante giroflée
à cinq feuilles
qui ait jamais brodé les parterres de la noble
cité de Harlem.
Un type qui est sur Wikipedia comme l'inventeur du poème en
prose ne peut
voir sa tombe réduite à néant dans le
cimetière Montparnasse, non ?
Un type que Baudelaire admirait, bon sang ! (Faut dire que le pauvre
Baudelaire, dans le même cimetière
décidément peu respectueux, faut chercher
sa tombe sous le nom Aupick)
Un type de Dijon, ça se respecte, non ?
Un type qui a écrit ceci :
trop beau, non ?
Et surtout, un type qui a inspiré Ravel, 25 minutes de
bonheur pianistique !
Bon, messieurs les croques morts, faites un effort !"
(extrait mails du 02/01/2007)
"Bravo
pour votre action en faveur de ce poète, que j'ai
"rencontré" pour la première fois grâce
à Maurice Ravel :
ce compositeur a magistralement illustré pour le piano
(1908), quelques pages de son œuvre "Gaspard de la nuit".
---
Je demande la signalisation de la sépulture
d’Aloysius Bertrand par le biais de l'association
Association pour la Mémoire d'Aloysius Bertrand, 50 rue
Godefroy, 59110 La Madeleine,
qui transmettra au Service Central des Cimetières de Paris
lorsque suffisamment de demandes (personnalisées) auront
été exprimées."
(extrait mail du 02/01/2007)
"C'est avec étonnement que j'ai appris par votre message que la tombe de Louis Bertrand est en danger; j'ai de suite ajouté un lien en bas de la page http://cage.ugent.be/~dc/Literature/Gaspard/ et je serai heureux de contribuer à vos efforts (...)."
(extrait courrier du 04/01/2007)
"(...)il me paraît essentiel que la trace d'un auteur essentiel ne soit pas effacée.(...) Ce serait bien de montrer que les Français du XXIème siècle sont moins ingrats que leurs prédécesseurs du XIXème.(...)"
(mail du 06/01/2007)
"Je m'associe à ceux qui demandent la signalisation de la tombe d'Aloysius Bertrand."
(mail du 07/01/2007)
"Pour la signalisation de la sépulture d'Aloysius Bertrand."
(mail du 08/01/2007)
"Un ami me fait découvrir votre initiative à laquelle je ne peux qu’adhérer (...). A chaque fois que je me promène au cimetière du Père Lachaise (qui est près de chez moi), je suis scandalisé par l’état de certaines tombes (Eluard, par exemple, d’autres écrivains ou quelques compositeurs... La liste serait longue). L’incurie des éditeurs, ayants droit, quand ce n’est pas aussi celle des vendeurs de partition, de disques ou autre est révoltante. Ils n’ont même pas la reconnaissance du ventre, et je ne parle pas du respect ou de la mémoire dus aux grands artistes qui composent notre patrimoine. Quant à l’Etat, il faut en effet souvent le secouer...
Je me sers d’une formule écrite déjà par l’une de vos correspondante pour me joindre à vous :
“Je demande la signalisation de la sépulture d’Aloysius Bertrand par le biais de l'association Association pour la Mémoire d'Aloysius Bertrand, 50 rue Godefroy, 59110 La Madeleine, qui transmettra au Service Central des Cimetières de Paris lorsque suffisamment de demandes (personnalisées) auront été exprimées.”"
(mail du 08/01/2007)
"Inconditionnel de Gaspard de la Nuit depuis ma déjà bien lointaine adolescence, j'ai toujours estimé qu'il s'agissait là d'un des ouvrages majeurs de la poésie moderne, dont l'importance est encore loin d'avoir été suffisamment mise en lumière. Sans doute, de génération en génération, ce livre a-t-il toujours suscité la ferveur d'un cercle d'admirateurs toujours renouvelé, cercle riche d'écrivains de renom (Baudelaire, Mallarmé, Verlaine, les surréalistes) comme d'auteurs trop méconnus (Tristan Klingsor, André Hardellet), qui tous auraient pu souscrire au jugement d'André Breton classant Gaspard au nombre des ouvrages dont on ne saurait se séparer - jugement qui, dans la simplicité de sa formulation, passe toutes les hyperboles. Je ne peux que me réjouir de la naissance de votre association, et je souhaite que le bicentenaire soit l'occasion d'hommages et autres manifestations.
Les ouvrages critiques sur Bertrand sont bien rares, alors que Gaspard et ses avant-textes se prêtent on ne peut mieux aux études stylistiques, de quoi mieux appréhender la "révolution d'ordre littéraire" qu'évoquera Mallarmé près d’un demi siècle plus tard. Par ailleurs, la personnalité de l'écrivain est passablement énigmatique, finalement assez mal documentée, et la représentation traditionnelle du poète est une reconstruction largement fictive.
C'est presque un écrivain sans visage : on ne dispose que d’un autoportrait aux traits bien vagues, de deux dessins à l'encre de David d'Angers mais qui fixent à jamais l'expression d'un agonisant, et c'est tout. Pour ne rien arranger, le médaillon d'un général napoléonien homonyme a longtemps squatté la couverture de l’édition, remarquable au demeurant, procurée par Max Milner chez Gallimard, et s'est propagé ici ou là, à la façon d'un virus informatique. Cette usurpation de représentation apparaît symptomatique tout à la fois de la fortune et de l’infortune de Bertrand, à l’image de toutes les usurpations d’identité qui scandent sa trajectoire littéraire : il troque son patronyme contre le masque d’un héros nocturne difficilement identifiable, Gaspard de la Nuit, auteur supposé de l’ouvrage, en revanche le manuscrit lui conserve son véritable prénom, alors que la postérité lui substituera un pseudonyme de circonstance dont il serait probablement le premier surpris (Aloysius). Sainte-Beuve s’est débrouillé pour le retranscrire fautivement (Aloïsius), et l’excentrique Montesquiou ne pouvait que surenchérir (Aloÿsius).
Dans le domaine de la critique et de l’établissement des textes, il est pour le moins surprenant que les deux principaux travaux d'envergure sur l'œuvre de Bertrand aient été entrepris par des américains (Cargill Sprietsma et Helen Hart Poggenburg) ; si l'on ajoute à ces deux noms celui du canadien Luc Bonenfant, auteur du seul ouvrage critique actuellement disponible, il apparaît que Bertrand jouit d'un sort plus enviable à l'étranger que dans son propre pays.
Force est de constater que l'espace à défricher est encore vaste (biographie, langage, intertextualité, etc.). Votre association peut être un lieu d'échanges et de créativité, indispensable pour ouvrir une nouvelle ère bertrandienne. (...) Je trouve évidemment inadmissible que le nom de Bertrand ne soit pas mentionné sur le dépliant et le plan du cimetière du Montparnasse (alors qu'y figurent un certain nombre de personnes ignorées par cet appareil standard pour mesurer la célébrité qu'est le Petit Larousse illustré...) : l'inculture est une circonstance aggravante. Indépendamment des très nombreuses éditions anciennes de Gaspard de la Nuit, très prisées par les bibliophiles, le lecteur d'aujourd'hui a tout de même le choix entre pas moins de cinq éditions au format de poche, toutes disponibles (Poésie / Gallimard, le Livre de poche classique, l'Ecole des lettres, Mille et une nuits, GF Flammarion) : Catulle Mendès ou François Coppée, poètes qui ont socialement réussi de leur vivant puis rejoint le Styx au même cimetière, ne sont pas près de bénéficier de la même faveur. En contrepartie, ils ont le privilège d'être connus de l'administration parisienne et proposés à l'admiration en jachère des touristes de passage, ils ont bien de la chance."
(mail du 14/01/2007)
"On ne peut que regretter que David d'Angers n'ait pas mené à bien le projet pour la tombe de Bertrand, dont il est fait état dans Les Carnets de David d'Angers, volume II (1838-1855) p. 75 : « Sur l’endroit où repose Louis Bertrand, je veux faire mettre une pierre sur laquelle je graverai une barque à moitié engloutie, dans laquelle sera un jeune homme étendant les bras vers le rivage. Dans l’une de ses mains, est un manuscrit qu’il lance vers le rivage. Cette barque étant attachée à un vieil arbre à moitié mort, les racines sont à découvert par le mouvement des vagues. Cet arbre est creusé comme ces vieux saules que l’on voit au bord des rivières : quelques branches, avec de rares feuilles. Autour de cet arbre, grimpe un lierre qui annonce le bonheur, quoique sur ce corps décharné qu’il étouffe et domine. Une corde brisée, qui attache la barque à la rive, entoure le vieux squelette d’arbre. L’arbre indiquerait la mère ; et le lierre, la jeune fille qui domine sa mère ; elle l’étouffera par son insensibilité. » Ce n'est pas le seul monument funéraire à nous faire défaut. Si l'on s'en tient à ce qui en serait l'équivalent verbal, il nous manque également les "quelques lignes durables" promises par Victor Hugo à David d'Angers (lettre du 3 mai 1841), un article un peu étoffé de Baudelaire du type de celui qu'il a écrit pour cet autre marginal du Romantisme qu'est Pétrus Borel, le "tombeau" collectif écrit par les « meilleurs poètes de ce temps » envisagé par Mallarmé (lettre à Victor Pavie de février 1866), un hommage d'André Breton dans le style de ses confidences à Hardellet, de préférence à son article de circonstance des Pas perdus trop marqué par la querelle datée Reverdy-Max Jacob, etc."
(extrait mail du 09/01/2007)
"Je trouve scandaleux qu'un aussi grand poete puisse voir sa tombe réduite à rien du tout! (...) Il m'a suffit de lire ce poème [les doigts de la main:ndlr] pour réaliser que c'est un grand, alors laissons ce qu'il nous reste de lui!"
(extrait mail du 12/01/2007)
"Il y a quelques années j’avais eu la désagréable surprise de trouver le petit panneau indiquant que la tombe de Bertrand ferait prochainement l’objet d’une reprise administrative, j’avais alors entrepris le chemin classique : conservatrice du cimetière, lettres au maire de Dijon et contactés divers universitaires (...) ainsi que l’association franco-québécoise des amis d’Aloysius...
Puis voyant que rien ne bougeait je restais dans l’attente d’une mauvaise nouvelle.
Je tombe - c’est le mot - sur votre site ce jour, et en amateur de Bertrand je souhaite naturellement vous rejoindre."
(extrait du courrier du 12/01/2007)
"[Mon mari et moi-même] (...) avons parcouru quasiment "tombe à tombe" le Père Lachaise et Montparnasse, et lorsque nous voyageons, nous aimons arpenter les allées des cimetières, dont il se dégage toujours un intense pouvoir de remémoration et d'émotion. Je suis en outre professeur de lettres retraitée, mon mari (...) aime la poésie et a lu avec ferveur "Gaspard de la nuit" autrefois, nous sommes donc tous les deux très heureux de votre initiative en faveur de ce poète à la fois romantique et moderne que vous nous donnez l'occasion de ressortir de notre bibliothèque et de relire ; pour cette seule raison, merci."
(mail du 24/01/2007)
"J'ai pu passer un peu de temps sur votre site et ai été stupéfait que tant de démarches aient été faites en même temps que les miennes, sans que chacun soit informé des efforts des autres; mais, après tout, l'avalanche du courrier reçu par les différents organismes a peut-être été plus efficace qu'un tir groupé ! (...) Je suis tout à fait d'accord avec ce que vous proposez pour la tombe : j'étais très opposé à l'idée de la changer, la stèle et la grille ont le charme nostalgique des vestiges de ce temps-là. Le seul défaut que je lui trouve est l'indistinction sur la stèle entre le poète et ceux qui l'entourent , gens peu estimables au demeurant, mais il serait indélicat de les supprimer; ne pourrait-on envisager d'ajouter une inscription ou une plaque annexe qui préciserait le pseudonyme choisi par le poète et le titre de son oeuvre ?"
(extrait du courrier du 26/01/2007)
"(...) Mes
services sont
informés de longue date sur la situation de cette
sépulture, particulièrement grâce
à
Messieurs les professeurs Jacques Bony et Philippe Hamon. La
Conservatrice du cimetière Montparnasse, (...), nous a
indiqué en son temps que l'intention de son service
n'était nullement de relever la tombe du poète
mais au
contraire de faciliter sa restauration. Il appartient donc aux amis du
poète, et notamment à votre association, si elle
le
souhaite, de réunir les fonds, publics et privés,
nécessaires à cette entreprise. Je transmets
à
cette fin votre lettre (...) Je lui demande de faire preuve de
diligence et d'examiner
avec bienveillance votre demande.
Leur poésie permet aux poètes du passé de rester présent parmi nous. Mais la sauvegarde de leur sépulture doit aussi nous aider à conserver la mémoire de leur oeuvre."
(mail du 25/02/2007)
"Je demande la signalisation de la sépulture d'Aloysius Bertrand."
(mail du 25/02/2007)
"Je demande la signalisation de la sépulture d’Aloysius Bertrand par le biais de l'association "Association pour la Mémoire d'Aloysius Bertrand, 50 rue Godefroy, 59110 La Madeleine". Je pensais du reste que la tombe d'un écrivain d'un tel renom relevait déjà du Patrimoine public."
(mail du 21/03/2007)
"Je souhaite que le nom du poète Aloysius Bertrand soit indiqué sur les supports d'information au public (panneau d'entrée, dépliant) du cimetière Montparnasse, ce afin de favoriser l'accès à sa sépulture."
(courrier du 21/03/2007)
"(...)
Consultant d'autre part
le dépliant intitulé "Cimetière
Montparnasse-sépultures parmi les plus demandées"
édité par la Mairie de Paris, j'ai
observé avec
surprise qu'il n'y est pas fait mention de cet écrivain qui
aura
pourtant marqué l'histoire de la littérature
française et de manière plus significative que
d'autres
littérateurs dont les noms y figurent.
Je souhaite vivement que l'année 2007 qui marquera le
bicentenaire de sa naissance voie rectifier ce bien regrettable oubli."
(mail du 18/09/2007)
"Françoise
et Marcel
HERRGOTT s'associent de tout coeur aux démarches visant
à
obtenir que le dépliant d'accueil du cimetière
Montparnasse fasse mention de la tombe du grand poète
romantique
Aloysius BERTRAND, tout récemment restaurée et
désormais parfaitement identifiée.
(mail du 25/03/2007)
"Je vous écris pour me joindre à l'association et soutenir la demande de signalisation de la tombe d'Aloysius Bertrand."
(mail du 28/03/2007)
"Je sollicite le Service Central des Cimetières de Paris pour la digne signalisation de la sépulture d'Aloysius Bertrand par le biais de l'association pour la mémoire d'Aloysius Bertrand siégeant 50 rue Godefroy, 59110 La Madeleine."
(courrier du 07/04/2007)
"je soutiens l'Association pour la mémoire d'Aloysius Bertrand afin de permettre la signalisation de l'emplacement de sa tombe à l'entrée du cimetière etsur les guides touristiques. Bravo pour votre dynamisme, vos actions menées et projets!"
(mail du 02/05/2007)
"Nous nous associons chaleureusement à l'initiative des fondateurs de l'Association pour la Mémoire d'A. Bertrand et demandons que la tombe du poète soit, comme il se doit, signalée à l'attention des visiteurs."
(mail du 02/05/2007)
"Je suis mére de plusieurs enfants et je soutiens l'association en demandant que la tombe d'Aloysius Bertrand soit signalée à l'entrée du cimetière Montparnasse. Son oeuvre mérite d'étre connue, il fait partie de notre culture et le fait que sa tombe soit signalée à l'entrée du cimetière comblera ceux qui l'apprécient et éveillera la curiosité de ceux qui ne le connaissent pas encore en les incitant peut-étre ainsi à découvrir l'oeuvre du poète."
(mail du 30/08/2007)
"Je souhaite vivement que la sépulture d'Aloysius Bertrand, l'un de nos plus grands poètes sinon le plus connu, soit signalée à l'attention du public qui n'oublie pas que la poésie est l'âme d'un pays."
(mail du 30/08/2007)
"Je demande la signalisation de la sépulture d'Aloysius Bertrand par le biais de l'association Memoire Aloysius Bertrand."
(mail du 04/09/2007)
"Sans souhaiter adhérer à l'association (je ne le fais pour aucune association d'amis d'écrivains...), j'approuve tout à fait votre demande d'obtenir que la tombe d'Aloysus Bertrand soit signalée de façon claire."
(mail du 08/09/2007)
"Aloysius Bertrand mérite de voir son nom affiché sur la liste des personnes célèbres, à l'entrée du cimetierre Montparnasse. Je demande donc la signalisation de sa sépulture par le biais de l'association "Mémoire Aloysius Bertrand"."
(lettre du 19/09/2007)
"Nous nous asocions à la démarche entreprise par l'Association pour la mémoire d'Aloysius Bertrand afin d'obtenir l'inscription de ce poète dans le dépliant remis aux visiteurs du cimetière Montparnasse. Il serait dommage que l'existence de la tombe de ce grand poète soit ignorée du public."."
(mail du 30/12/2007)
"Je demande la signalisation de la sépulture d’Aloysius Bertrand par le biais de l'association "Association pour la Mémoire d'Aloysius Bertrand, 50 rue Godefroy, 59110 La Madeleine". N'est ce pas le moins qui puisse etre consacré à celui que Baudelaire décrit comme son "mystérieux et brillant modèle" ?."